Le ministère russe de la Santé a appuyé la résolution de l'OMS visant à réduire le nombre de césariennes

Les médecins russes ont soutenu la résolution de l'Organisation mondiale de la santé sur la nécessité de réduire le nombre de livraisons opératoires.

L’OMS a récemment présenté des statistiques épouvantables: au cours des 15 dernières années, dans certains pays, la césariennes parmi le nombre total de naissances était près de 50%. En Russie, la part du travail en service est proche de 25%. Cela signifie qu'un bébé sur quatre ne naît pas à la suite d'un accouchement naturel, mais d'une intervention chirurgicale.

À cet égard, l’OMS a rédigé une résolution et a demandé aux pays de l’appuyer. Le document parle de la nécessité urgente de réduire le nombre de césariennes.

Le ministère russe de la Santé a pleinement souscrit à cette idée, tout en soulignant que les médecins ne devraient pas chercher artificiellement à un déclin. Il est impossible d'ignorer les indications d'une intervention chirurgicale dans le but de réduire les statistiques. Tout devrait être fait dans l’intérêt de la mère et de l’enfant..

Cela signifie que l'opération sera effectuée uniquement en fonction des indications. La soi-disant césarienne non urgente (d'une femme désireuse de se passer d'indications de santé), que certains centres médicaux et cliniques privés rémunérés pratiquent aujourd'hui, n'est pas approuvée. Ministère de la santé examinera la question l'introduction d'une interdiction formelle de telles opérations, pour une césarienne sans témoignage payant, la clinique peut perdre son permis.

Dans les années 80 du siècle dernier, la part des césariennes en URSS ne représentait pas plus de 3% du nombre total de naissances et dans les années 90, pas plus de 10%.

C’est précisément à 10% que l’OMS propose de revenir.

Le ministère de la Santé de la Russie souligne que l'état de santé des femmes modernes donne de plus en plus de raisons de procéder à une césarienne programmée. Les jeunes femmes ont des maladies graves, des maladies chroniques et les médecins n’ont donc parfois pas le choix.

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