Votre enfant étranger: les belles-mères et les beaux-pères auront le droit de communiquer avec les enfants après le divorce

Les demi-mères et les beaux-pères, qui ont élevé l'enfant pendant longtemps et qui pour une raison quelconque ont rompu avec leur deuxième moitié, devraient avoir le droit de communiquer avec les enfants de leur ex.

Cela a été déclaré par des experts du ministère de l'Education et de la Science de la Russie.

Le ministère élabore actuellement un projet de loi qui autorisera, après un divorce, le droit de communiquer avec les enfants, non seulement pour les parents de sang, mais également pour ceux qui ne le sont pas, mais pour une certaine période, élever un enfant.

Les beaux-enfants et les belles-mères vont parfois même devant les tribunaux avec de telles poursuites, mais jusqu'à présent, les juges ne peuvent satisfaire leurs demandes de rencontres avec leurs beaux-enfants et beaux-enfants, car les enfants ne sont pas considérés comme des parents, aucun droit sur eux n’a un beau-père ou une belle-mère.

Il est prévu que les amendements introduisent les articles 55 et 67 du Code de la famille. Ensuite, le droit de communiquer avec l'enfant de l'ancien conjoint (des époux) pourra facilement être défendu devant les tribunaux s'il existe un tel désir, et l'enfant lui-même le soutiendra.

Modifier le code de la famille dans les parties spécifiées est prévu à la fin de cette année.

L’avis de l’enfant sera pris en compte pour décider, et si l’enfant lui-même s’oppose, la communication avec le beau-père ou la belle-mère ne sera pas autorisée.

Si les parents de sang interfèrent avec une telle communication de leurs enfants, des mesures administratives de réponse leur seront appliquées.

Le projet de loi comprend également un amendement au Code des infractions administratives. Pour la privation du droit de communiquer avec la belle-mère ou le beau-père, le parent de sang de l'enfant peut payer une amende de 3 000 roubles et, si elle est à nouveau bloquée, 5 000 déjà.

Aujourd'hui, dans la pratique judiciaire, l'expérience de l'application devant un tribunal d'anciens beau-pères, avec une demande en vue de leur permettre de voir un enfant non autochtone mais aimé, est assez développée. Bien qu'ils se voient refuser les revendications.

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